Notre paroisse vivante et fraternelle, rayonnante de la joie de l'Evangile
 
Au revoir Jean-Jacques

Au revoir Jean-Jacques

 Savigny – 29 août 2021

Cher Jean-Jacques, nous nous connaissons depuis longtemps toi et moi, et tu es arrivé dans notre paroisse il y a un an aussi en terrain connu grâce aux nombreuses amitiés que tu avais liées par le passé avec plusieurs paroissiens.

Nous avons été très heureux de t’accueillir et nous espérions te garder un peu avec nous. Te souviens-tu ? Nous te l’avions chanté à Fouillet le 13 septembre 2020.

Mais cette année a été difficile pour toi : la pandémie a restreint les occasions de rencontre et de convivialité qui te sont chères, tes soucis de santé ont limité ton action.

Et pourtant…en une petite année, que de richesses partagées ! Ta qualité de présence, ton sens du service, tes homélies, ta compétence relationnelle, sont appréciés de tous.

Tu terminais ta méditation de l’été par ces exclamations : « vive la vie ! merci la vie ! » Et dans ta prière à Notre Dame du 15 août tu écrivais : « Notre Dame du 15 août, en ces jours de l’année où les nuits du ciel sont étincelantes ; de toutes les constellations et de toutes les étoiles, par ta foi, tu illumines les nuits de nos vies ».

Dans la retraite bien méritée que tu vas vivre à Roanne, que tes jours heureux comme tes jours difficiles soient illuminés de la présence de Marie, de Dieu et de tous ceux avec qui tu as construit des relations vraies. Nous te souhaitons que la vie avec un grand V, celle qui t’habite profondément, soit au cœur de tes journées, et nous t’assurons de notre amitié et notre reconnaissance.

Oui nous pouvons rendre grâces puisque la grâce, c’est le don d’amour du Père pour nous, pour nous faire frères.

Jean-Jacques, toi qui es notre frère, nous te souhaitons une bonne retraite, un bon repos, et la joie de continuer à servir et à vivre ta vocation de prêtre dans le roannais.

Bonne route Jean-Jacques, emporte notre amitié, notre prière, et nous garderons tout ce que tu as apporté à notre paroisse et à chacun de nous.

Elisabeth Bernard